Bourg-la-Reine en transition (BLRET) est une association qui a été créée en aout 2019. Elle est née, en premier lieu pour porter des projets issus du budget participatif de la ville : la disco soupe et le premier poulailler collectif de Bourg-la-Reine : La Poule aux potes ! Mais aujourd’hui, BLRET, c’est aussi un collectif de 60 jardiniers répartis sur deux jardins partagés. D’autres projets s’élaborent actuellement autour de la mobilité douce et de la gestion des biodéchets.
L’association traite des problèmes locaux, à une échelle humaine : gaspillage alimentaire, gestion des déchets, agriculture urbaine, transports et mobilité douce, logement, etc… Nous souhaitons que Bourg-la-Reine fasse partie de ces villes qui retrouvent une capacité d’agir sur des enjeux gérés habituellement par l’état. Pour atteindre cet objectif, nous avons à cœur de favoriser la création de liens entre les habitants de la ville et de soutenir tous les projets concrets en faveur de la transition.
Le fonctionnement se veut collégial, basé sur le bénévolat et indépendant du point de vue politique.
Quelques évènements passés
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Observation du ciel
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Disco Soupe
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Atelier d’auto-réparation vélo
Site Internet : https://www.bourg-la-reine-en-transition.fr/
Contact : blrentransition@gmail.com
Comme son nom l’indique, le quartier de Fontenay appelé Blagis-Gare appartient au quartier des Blagis qui couvre quatre communes : Bagneux, Bourg-la-Reine, Fontenay-aux-Roses et Sceaux.
Habitant Sceaux dans le quartier des Blagis, je constate aussi ces problèmes d’insécurité. Je pense que les balnéolais du quartier des Blagis pourraient aussi avoir un avis. Peut-être les réginaburgiens ?
Clairement cela relève de la compétence de Vallée Sud-Grand Paris, et du département des Hauts-de-Seine. Les autorités de ces territoires se sont déplacées après que nous avons eu à vivre de bien dramatiques moments, avec un blessé grave et un mort, à la suite de bagarres de bandes.
Des mesures de police ont été prises. Sont-elles suffisantes et bien suivies ?
Pourquoi ce quartier des Blagis, dont la réalité géographique a souvent été confirmée par l’histoire, est-il ainsi laissé en marge par les communes sur lesquelles il vit ?